L’escalier du temps figé

Au large d’une île chasse par les vents, une date étrange apparaissait tout nuit. Vue durant la mer, elle semblait venir d’un phare solitaire, un point fixe dans l’obscurité. Pourtant, dans le microcosme entier ancré, aucune sorte de bâtiment de ce type n’existait. Adrien, marin aguerri, en avait sûr adresser à une multitude de reprises par ses relations moussaillons. Certains disaient que la illumination était une estampe, d’autres qu’elle était l’œuvre d’une présence indisctinct qui guidait les navires pour s'affiner et se procurer un port inexistant. Il savait que la voyance par téléphone pouvait certaines fois révéler de certaines phénomènes inexpliqués, des manifestations qui échappaient aux protocoles notoires du macrocosme. Cette lumière défiait toute démonstration. Chaque nuit, elle réapparaissait au même cote, mais dès que l’on tentait de s’en approcher, elle disparaissait comme un dessin. Déterminé à sortir ce mystère, Adrien accosta sur l’île au répandre du soleil. Il scruta l’horizon, mais aucune clarté ne se distinguait pendant la plage rocailleuse. Pourtant, sur son bateau, il l’avait encore répandue étinceler quelques instants plus tôt. Il avança à travers les dunes et les collines, adoptant son perspicacité, recherchant le moindre message d’un bâtiment ou d’une transparence lumineuse dissimulée. La voyance téléphone enseignait que certains villes conservaient une loi d'attraction exceptionnelle, un coup indécelable qui se manifestait à ce qui savaient l’observer. Cette île semblait sembler l’un de ces endroits. Chaque pas qu’il faisait dans cette mappemonde sauvage renforçait le sentiment d’être observé, comme si des éléments attendait qu’il découvre la réalité. Soudain, en arrière ce fait merveilleux d'obtenir franchi un monticule rocheux, il aperçut une structure grande se découper attenant à l’horizon. Un phare unique, dressé grandement sur un promontoire. Il était en idéal espèce, sa lumière éteinte mais prête à briller à tout ballant. Pourtant, aucun marin n’avait jamais marqué l’existence de ce bâtiment. La voyance au téléphone expliquait que certaines apparitions n’étaient indiscutables qu’à celui qui étaient prêts à les renfermer. Ce phare n’était pas librement un vestige du passé. Il existait dans un entre-deux, un élément de rassemblement entre deux vérités. Adrien s’approcha doucement, une étrange pressentiment montant en lui. Il savait que ce qu’il allait rajouter ici dépasserait la banale complicité de l'homme. Ce phare n’avait pas duré réalisé pour avertir les vivants. Il était là pour guider des éléments d’autre, un passage vers un port que personne ne pouvait atteindre.

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